vendredi 21 septembre 2007

Spleen

Ce soir, mes pensées ne vont que vers toi, ma poupette...Mon esprit divague, je t'imagine, je te vois, je te touche, je te sens et ...pourtant tu n'es pas là. Toujours pas là. Encore combien de temps à attendre, combien de fois à dormir ?
A attendre si longtemps, j'ai peur d'idealiser notre rencontre, de l'embellir ... Je sais que tu seras apeurée, que tu risques fortement de pleurer, de nous rejeter ... Mais quel bonheur pourtant de penser à tes petits bras autour de mon coup, à ta respiration, à ta chaleur.
Ma douce, je t'aimes déja. Si fort.
Je pense à toi dans les bras de ton papa et de ton grand-frère. Comment vas-tu te comporter avec ce "grand-petit", ce "déja homme" encore enfant. Le reconnaitras-tu encore comme faisant partis de l'un des tiens et tisseras-tu avec lui des liens fraternels fort malgré cette différence d'âge?
Tout celà reste un mystère. Mais j'ai envie de penser, malgré tout, que celà se passera bien. Comme dans un rêve...